samedi, novembre 03, 2012

Exposition Edward HOPPER

Au Grand Palais
Du 10 octobre 2012 au 28 janvier 2013, tous les jours sauf le mardi de 10h à 22h (dimanche et lundi jusqu'à 20h).

Plein tarif : 12 euros
Tarif réduit : 8 euros

Edward Hopper, né le 22 juillet 1882 à Nyack dans l’État de New York et mort le 15 mai 1967 à New York, est un peintre et graveur américain, qui exerça essentiellement son art à New York, où il avait son atelier. Il est considéré comme l’un des représentants du naturalisme ou de la scène américaine, parce qu’il peignait la vie quotidienne des classes moyennes. Au début de sa carrière, il représenta des scènes parisiennes avant de se consacrer aux paysages américains et de devenir un témoin attentif des mutations sociales aux États-Unis. Il produisit beaucoup d’huiles sur toile, mais travailla également sur des affiches, des gravures en eau-forte et des aquarelles. Une grande partie de l’œuvre de Hopper exprime la nostalgie d’une Amérique passée, ainsi que le conflit entre nature et monde moderne. Ses personnages sont le plus souvent esseulés et mélancoliques.

Sur les 100 tableaux peints par Hopper, 55 sont exposés au Grand Palais. Ses tableaux ont influencé de nombreux metteurs en scène de cinéma (Hitchcock, Wenders, Coen, Allen,...). La peinture de Hopper est très lumineuse et renvoie une image de l’Amérique telle qu'on l'imagine en Europe. 

Le journal d'Anne Franck

TEXTES d'Éric-Emmanuel Schmitt, d'après "le Journal d'Anne Frank", mise en scène de Steve Suissa, avec Francis Huster, Gaïa Weiss, Roxanne Duràn, Odile Cohen, Katia Miran, Charlotte Kady, Yann Babilée Keogh, Bertrand Usclat et Yann Goven.

Un père découvre le journal intime de sa fille. Aussitôt le passé renaît: trois familles qui se cachent des nazis dans les combles d’une maison d’Amsterdam, enchaînant peurs, agacements et fous rires. Mais surtout, le père s’aperçoit qu’il ne connaissait pas son enfant... 
Tout est réussi dans cette pièce : le texte, la mise en scène et l’interprétation. Tous les comédiens sont formidables et la mise en scène est astucieuse (flashback à partir de la lecture du journal par le père revenu des camps).
La pièce à voir absolument en ce moment.
 
THÉÂTRE RIVE-GAUCHE
6, rue de la Gaîté
75014 PARIS
M° Edgard Quinet / Gaîté
Tél: 01 43 35 32 31
Web: www.edgar.fr
Jusqu'au 6/1: du Mardi au Samedi à 21h00, Samedi et Dimanche à 15h30. Places à 47€. Durée 1h40.

Les derniers jours de Stéphan Zweig

COMÉDIE DRAMATIQUE de Laurent Seksik, mise en scène de Gérard Gélas, décors de Jean-Michel Adam, costumes de Pascale Bordet, avec Patrick Timsit, Elsa Zylberstein, Jacky Nercessian et Bernardette Rollin

La pièce nous transporte dans le tourbillon de deux vies, l’ultime voyage de Zweig et de son épouse, Lotte. Ayant fui le nazisme, l’écrivain humaniste et sa femme, éprise d’absolu, croient trouver à Petropolis, au Brésil, un havre de paix pour attendre la fin de la guerre. Mais Zweig  est un homme torturé et il est persuadé le nazisme gagnera la guerre...

Belle pièce mais le jeu d'Elsa Zylberstein (et surtout sa voix) ne convint pas totalement et c'est dommage car Patrick Timsit, tout en retenu, est remarquable.
 
 
THÉÂTRE ANTOINE
14, boulevard de Strasbourg
75010 PARIS
M° Château d'Eau/Strasbourg Saint-Denis
Tél: 01 42 08 77 71
Web: www.theatre-antoine.com
 
Jusqu'au 29/12: du Mardi au Samedi à 21h00 et Samedi à 16h00. Places de 51 à 18€. Durée 1h40.
 
 





Julie Manet, la mémoire impressionniste

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